Les feuilles au dehors s’agitent sous une brise légère,
Le froid de l’automne s’installe dans l’atmosphère,
Ca et là, déjà, des volutes de fumées,
S’ égarent posément, fuyant des cheminées,
…………
Je cueille au passage ton coeur en bandoulière,
Cet instant, hors du temps, n’a rien d’une chimère,
Tes silences m’évoquent ta sensibilité,
Dans tes yeux embrumés point ta fragilité,
…………
Tu brises mes défenses par tes élans sincères,
Je me plie, en confiance, me revoici légère,
Tu es le renouveau, tu es ma certitude,
Celui que j’attendais : tu es ma plénitude,
…………
Alors nous avançons, sans regard en arrière,
Abandonnant enfin nos deux coeurs en jachère,
Nos mots se reconnaissent et nos deux mains s’enlacent,
Nous savons désormais, que nous chassons l’impasse,
…………
Je me tourne vers toi dans ce rai de lumière,
Tu acquiesces sans voix, ce n’est pas éphémère…
C’est très beau à lire, ce doit l’être encore plus à recevoir.
Merci…
Magnifique
Merci encore…