Je viens de laisser mes loulous pour quelques jours, chez leur père… Ce moment est toujours intense, à la fois un soulagement car j’ai besoin de souffler, de me retrouver, de me poser, et un déchirement… Un espace de temps à part, un moment où je me dis que ça doit être terrible pour eux d’être toujours ballotés entre papa et maman. Et puis moi, moi il y a le vide à la maison, le silence, plus de cris, de rires, de ces bagarres qui m’horripilent mais qui font que la vie est vie… Au quotidien, ils le vivent bien, mais il y a toujours avant le départ pour cette rencontre sur ce fameux parking de cimetière (!!!!) une nervosité ambiante, un flottement…
On est loin les uns des autres mes amours, mais je suis là, toujours, avec vous… Je pense fort à vous mes chéris, et je vous aime…
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