L’animal est programmé pour envisager le pire quand il sent un danger planer… Instinct de survie sans nul doute. Souvent, il a pour attitude de s’enfuir ou d’affronter le danger : s’enfuir parce qu’il sait qu’il n’est pas de taille à lutter, ou parce qu’il a des petits à protéger… Affronter quand la lutte n’est pas perdue.
L’être humain confronté à un danger agit de même : certains s’enfuient, d’autres font face… Mais c’est souvent l’instinct qui se manifeste en premier. Puis la pensée s’active, mesure le danger, les différentes figures qu’il peut présenter, tente de rationnaliser sa peur primitive et attend de connaître les conséquences du danger qui se manifeste. S’ensuit alors une réaction plus tempérée, plus rationnelle, parce que l’on se dit que le danger peut -aussi- passer à côté…
Alors, oui, il est nécessaire de positiver ! Tant que le danger n’est pas en face, alors tout reste possible…
Oui, tout reste possible, Rêva.
Douces pensées pour toi.
Je t’embrasse.
Je t’embrasse Françoise, merci pour ton passage…