L’Amour est un roman dont les pages s’ébauchent sans qu’on le sache, et dont les lettres se forment une à une, mais à deux, toujours !…
Et moi, moi je suis fière de cet homme qui partage ma vie, fière de son côté déterminé et mature, fière de son écoute et de ses analyses, fière de sa disponibilité quand je lui parle et de ses piques quand il me taquine ou me remet gentiment à ma place, fière d’être à ses côtés quand on se balade dans la rue, fière de sa voix douce et chaude et que je commence à connaître mieux que personne (et que lui sans nul doute !), fière d’être celle qui a su attirer son attention et la garder, fière de moi pour ça aussi… Je suis fière de son côté combatif et de sa sensualité… Mais la fierté n’est qu’un sentiment qui ramène à son propre égo, alors je crois qu’au fond, ce que j’ai envie de dire, c’est que cet homme-là m’émeut depuis le début, que cette histoire pourrait ressembler à celle de Cendrillon et que Cendrillon, c’est moi ! (j’en entends déjà une dire : « cette salope de Cendrillon ! » Mais bon, j’assume et je me demande si cette dernière ne voit pas les choses différemment depuis peu ???!!!)… J’avais perdu ma chaussure de vair mais tellement plus encore, j’ai trouvé le prince, le château et ce qui va avec, de bon et de mauvais (car bien sûr les contes n’existent que dans les contes, je n’ai pas perdu la tête).
Bref, un hommage à TOI ce soir, mon Amour, pour qu’à travers tes doutes et tes remises en question tu aies cette certitude que moi, je suis là, à tes côtés, et que je compte bien y rester !
BRAVO !