6 octobre 2011, sauf peut-être ceux qui ont eu vent des infos sur France info ou qui ont lu certaines presses sur le net, l’événement est passé inaperçu… Après le décès de Steve Jobs, la grève spontanée de la SNCF et la grève des retraités… Après les débats du PS et quelques divers… importants mais divers, il y a eu LA GREVE DES ORTHOPHONISTES aujourd’hui !!!
Ben oui, je n’y étais pas et c’est quelque chose que je regrette, ne pas avoir pu me battre pour la pérénité de ma profession, alors que je la sais menacée et que des raisons personnelles m’ont empêchées de me déplacer à Paris…
Alors voilà, je ne pouvais pas rester silencieuse… Ma profession est en danger, comme beaucoup de professions paramédicales d’ailleurs ! On essaie d’étouffer dans l’oeuf une profession certes encore rare mais en pleine expansion, en niant le niveau d’études, en nous empêchant d’accéder à des doctorats et nous reconnaître comme des chercheurs potentiels, on souhaite créer des sous-professions non reconnues par la sécu mais formées en un an… Oui, on en est là, on est des professionnels ayant des compétences extrêmement variées, on se penche sur les fonctions cognitives, on aide, on soigne, on écoute, on combat avec les parents, les familles, on lutte avec les enfants, avec les adultes, au quotidien. Nous sommes les acteurs discrets, méconnus, des difficultés de langage oral et écrit, mais aussi des adultes ayant des atteintes neurologiques, AVC, Alzheimer, Parkinson, et puis le bégaiement, l’autisme, la trisomie, les maladies génétiques rares… je ne vais pas tout citer parce que nous sommes au carrefour de la communication, du soin, des familles, du patient… Dans l’écoute et maîtrisant les techniques nécessaires mais spécifiques pour aider.
Nous sommes des orthophonistes… Nous sommes rares donc peu nombreux, nous ne justifions donc pas une petite mention dans le JT… Mais le jour où, Mesdames, Messieurs les médias, Mesdames, Messieurs les politiques, le jour où un orthophoniste rendra meilleure la vie d’un de vos proches, le jour où vous serez heureux de savoir qu’un d’entre nous vous accordera un peu de son temps surchargé parce qu’il aura compris l’urgence, ce jour-là, peut-être, vous regretterez de ne pas nous avoir entendu, aujourd’hui ! Serons-nous encore présents ???
Pour tous ceux qui se sentent concernés, ou qui veulent découvrir, je vous mets ce lien : http://www.orthophonistes.fr …
Oh que oui, ça sent la rentrée… Je profite de mes dernières heures de vacances et demain, je m’y jette à nouveau… Psychologiquement, c’est toujours intéressant de voir ce qui se passe en une veille de rentrée : ce matin, je me suis réveillée beaucoup trop tôt pour un dernier jour de congé, mais bon, passons ! J’ai donc eu loisir à penser au lendemain, à cette reprise à la fois non souhaitée (parce que c’est quand même sympa, les vacances, d’autant que cette année elles ont été extrêmement riches humainement parlant) et attendue (parce que si pas de reprise pas de vacances…). Et puis, j’aime cette atmosphère de reprise, un peu comme quand, enfant, je savais que j’allais enfiler les nouveaux habits soigneusement achetés pour cette occasion, puis plus tard au collège toutes ces nouvelles fournitures choisies que l’on étrennait peu à peu… Aujourd’hui, pas de nouvelle tenue, pas de beaux cahiers à commencer, mais des nouvelles rééducations, de nouvelles personnes à découvrir et – pour les anciens patients- une nouvelle année qui démarre avec de nouveaux paramètres, une fatigue balayée et une motivation renouvelée… L’annonce certaine qu’on va faire du bon boulot !
Pour tous ceux qui demain ou dans les jours prochains, s’y replongent, je vous souhaite une belle et douce rentrée.
Il y a toujours dans la vie des mots que l’on tait, parce qu’on les hait, parce qu’on n’est pas prêt, parce qu’on se retient… Des mots liés à des moments mais des mots qui ne se suffisent pas, des mots trop lourds ou inutiles, des mots qui vont avec des gestes, des mots chargés d’intensité, des mots empreints ou empruntés, des mots gauches qui sont trop droits, des mots habiles mais qui deviennent maladroits si par erreur ils sortent…
Ce sont ces mots que l’on dirait un jour de grande impulsivité… des mots qui disent l’amour et l’agacement, la douleur ou la joie, des mots extrêmes, des « je t’aime moi non plus », des « non plus moi je t’aime », des mots à la vie à la mort… Des mots qu’il faudrait pouvoir dire, en fin de compte, des mots qui apaiseraient ou inquiéteraient, mais des mots au final qui assainiraient les silences… qui apaiseraient les consciences, qui éclaireraient nos sens…
Ce mot me vient à la lecture du com de psyblog … Sur la nature des relations, sur le fonctionnement de notre société… Nous vivons dans un monde de méfiance, un monde où peu de choses (et de moins en moins) sont gratuites…
Et pourtant ! La gratuité dans les relations humaines est tellement belle, est tellement saine quand on sait l’accueillir comme il se doit. Chacun de vos commentaires est la preuve de la gratuité que vous m’offrez, quand vous commentez un de mes billets… Quand je vais moi-même commenter sur vos blogs, ce n’est pas pour faire du lèche-bottisme, mais pour vous assurer de mon adhésion (ou non car quand je suis contre ou que je ne partage pas vos points de vue je sais aussi l’exprimer), de mon soutien parfois, juste parce que j’en ai envie, juste parce que ça me fait plaisir, juste parce que je me sens proche de vous…
J’entends certains distracteurs venir commenter que ce n’est pas gratuit, que j’y trouve un intérêt… Bien sûr, et je l’assume, mais nous sommes ainsi constitués… Si nous n’éprouvions pas le besoin des autres, alors le langage n’existerait pas, nous ne l’aurions pas créé, puisque nous n’aurions aucune légitimité à communiquer. Bien sûr que pouvoir apporter un mot, une pensée, un sourire me fait du bien. Ce n’est pas pour autant que j’attends de l’autre qu’il se sente obligé de venir commenter ici.
Il en va de même avec les gens que je côtoie, les amis entre autres…
C’est en ce sens que je parle de gratuité. Savoir donner simplement est un acte auquel je tiens particulièrement, savoir donner sans rien attendre en retour me semble être la base de la sincérité… Il faudrait aussi que je sois capable de recevoir, et là, c’est moins simple : car si l’on aime donner, parfois, il est plus dur d’accepter la gratuité des autres… Vous avez dit illogisme ???…
Les certitudes sont terribles, j’en suis persuadée…
L’Homme (hominidé) a besoin de certitudes pour ne pas se perdre… Certains parmi nous ont ce besoin plus ancré que d’autres… Et ils m’interrogent !
Certains d’entre nous donc, emplis de certitudes qu’ils clament haut et fort, peuvent paraître bien hermétiques à l’ »humattitude » !!! Car l’Humain, cette espèce de tas de choses unicelllulaires, aime être conforté dans ce qu’il pense : Lacan disait « je pense à ce que je suis, là où je ne pense pas penser »… Ai-je besoin de commenter ce dire ? Oui ! Car je l’interprète suivant ces termes : « lorsque je pense à ce que je suis, je ne pense pas penser, mais être ! »… Et moi, Rêva, je pense que cela est faux, car ce que je suis mérite une réflexion puisée au plus profond de moi… (ce n’est qu’une opinion et je suis ouverte à tous avis)…
Donc, l’homme a besoin de certitudes, de se persuader que ce qu’il pense est VRAI (mais où se situe la vérité ?)… Et c’est là, à mes yeux, qu’il a tort… Car l’Homme persuadé qu’il a raison s’emplit de certitudes qui pour ses pairs ne sont pas forcément justes ! L’Homme emplit de certitudes pense qu’il détient LA vérité, sauf qu’à mes yeux il n’existe pas LA vérité, mais DES vérités, et la nuance n’est pas sans importance…
L’Homme ayant besoin de certitudes est pour moi Celui qui est fragile dans ses convictions, celui pour qui un argument contraire fragilise ses propres croyances ! Or, nous vivons dans un monde de certitudes, ce qui me pousse à penser qu’à notre époque, l’Homme a cette nécessité de se dire que malgré les difficultés qu’il rencontre à VIVRE, difficultés financières, personnelles, affectives, il va se persuader d’être lui -en tant que personne unique génétiquement- une source de vérité, de savoir, de bien penser quand ses partenaires seront dans le faux, le doute, la dérive !!! Mais cet Homme, qui leurre-t-il ? Je ne pense pas qu’il fasse illusion envers de nombreuses personnes, mais ce qui est terrible, c’est que s’il est une personne qu’il trompe, malgré lui bien évidemment, n’est autre que son « soi » propre ! Car avoir trop de certitudes, selon moi, c’est se créer une carapace qui protège des fragilités, et les exposer, c’est dire aux autres que l’on aimerait être aidé, que l’on attend d’eux qu’ils voient en nous nos propres questionnements, et viennent nous chercher là où notre peur est trop présente pour nous laisser libres d’agir… Ces certitudes surexposées ne demandent qu’à être démontées, le tout est de savoir le voir…
Aujourd’hui est un jour d’hiver, un jour où le ciel blanc est bas de neige et de froid glacial, qui pénètre nos corps et les malmène… Et pourtant, je ne peux m’empêcher de me dire que j’attendais ce moment, au vu des dernières semaines passées dans la tiédeur et l’ensoleillement…
Alors, comme lorsque dans nos vies tout va bien et qu’on sait au fond de soi qu’il y aura un moment où la roue tournera, aujourd’hui l’attente n’est plus, car ça y est, il neige et il fait froid… Et je sais que ce temps apportera en son temps les bourgeons, les oiseaux, le printemps et les voix au dehors, la caresse prometteuse de quelques rayons de soleil…
Je n’étais pas si loin ces derniers jours mais je n’avais pas l’inspiration nécessaire pour publier… Me revoici ce soir à la lecture de plusieurs billets sur différents blogs qui me sont précieux… Je lis des choses variées sur les fêtes, les engouements ou les répulsions de chacun. Me vient cette réflexion que Noël et le Jour de l’An sont deux fêtes extrêmement sensibles, qui exacerbent souvent les émotions de chacun. Cette période est incontournable, si l’on souhaite l’ignorer alors il faut s’enfermer chez soi, sans télé, internet, radio et sans voir personne, puisque tout tourne autour de ça : il y a ce rituel des illuminations, les jouets qui fleurissent dans les moindres recoins de chaque commerce, les sapins et décos, les questions paniquées sur ce que l’on va offrir (et-zut-je-suis-encore-à-la-bourre), les repas à préparer…
Résumons : Noël en famille, le Jour de l’An entre amis… Enfin, c’est ainsi que cela se passe pour beaucoup, je crois.
Mais ce sont des fêtes qui brassent tous ceux qui ont perdu des êtres proches, des êtres chers et qui ne sont plus, ce sont des fêtes où l’on pleure aussi, où l’on cache les douleurs pour faire bon semblant, ne pas attiser les manques de tous, des fêtes où l’oubli ne peut avoir sa place, où le silence et l’absence prennent une importance considérable, et avec cela le non-dit, forcément ! Les fêtes accroissent le vide, qu’il soit conscient ou inconscient, parce qu’il se transmet de manière intergénérationnelle. Et c’est pour ça, je crois, que bon nombre d’entre nous ont du mal à être pleinement heureux en ces jours…
Nous y voilà, je lis çà et là sur les blogs des absences, l’heure du repos pour quelques uns d’entre nous, chacun se replie en ce moment de fête dans son cocon, auprès de son entourage proche,… Je vais moi aussi passer Noël en famille, moments à la fois empreints de la douceur de se retrouver, nous qui ne prenons pas toujours le temps de le faire, mais aussi chargés incontournablement de pensées vers ceux qui ne sont plus…
J’aurai une pensée forte pour vous tous, mes lecteurs et rencontres du blog, pour tous mes amis, pour toi que j’aime et tes proches, pour ceux qui se retrouvent seuls en ces jours mais aussi tous les jours, pour les absents…
A tous, que vos heures soient les plus douces possibles…
Je l’avais bien dit il y a quelque temps, que j’y reviendrai, sur la passion !!!
C’est terrible d’être passionnée, emportée malgré soi dans des tourmentes faute de n’avoir pu tempérer ce caractère passionnel. Car figurez-vous, pour ceux qui ne savent pas, que lorsqu’on est passionné on fait en entier, on s’implique, on y va, à fond, toujours… Rien que de l’écrire me fatigue, parce que c’est fatiguant, la passion ! Je ne parle pas de la passion amoureuse, qui évidemment fait partie du caractère ci-décrit, mais des réactions liées à une telle personnalité. Ainsi, un mot, une idée va nous arrêter et paf, ça y est, c’est parti, il va falloir s’y atteler, l’apprivoiser, la décortiquer, se l’approprier… Une frustration et c’est tout notre être qui va trembler, se lamenter, se questionner, se retourner… Pas de demi-mesure en passion, du manichéisme, pas de dosage, mais de l’emportement… Pfff ! Ca use, la passion ! Parce que quand on se rend compte qu’on ne peut vivre comme ça, tout en extrêmes, il faut apprendre à doser, à devenir polychrome, et là, c’est pas simple. Passer du noir et blanc au gris, puis à toutes les nuances chromatiques de la gamme, c’est se faire violence quotidiennement… Apprendre qu’une avalanche peut avoir divers degrés d’amplitude, qu’avant l’avalanche il peut y avoir une averse de neige, tout simplement, que l’apparition d’un flocon reste annonciateur d’intempérie mais pas forcément de danger, ou au contraire que le premier rayon de soleil ne signifie pas que le dégel est là, ça demande de la patience, d’être studieux et attentif, d’apprendre à reconnaître les signes avant-coureurs et de poser des alertes pour prévenir son subconscient que là, attention, avant de réagir spontanément, il faut prendre le temps de se demander si l’on ne peut rien dire (ou faire) d’autre. Ce n’est pas se brimer, c’est s’ajuster au mieux à une situation, à un contexte, pour avoir un comportement adapté et pas emporté… Bref, vous l’avez compris, si l’on naît passionné il faut peu à peu s’accorder de n’être plus…
L’image de soi est comme un habit qui nous colle à la peau, je parle du soi physique et pas de l’image liée à notre personnalité. Dans cette image nous pouvons nous aimer ou nous détester… Souvent, il suffit d’observer les gens se faire prendre en photo pour savoir quelle image d’eux ils ont. Car nombre sont ceux qui refusent ou en tout cas subissent le prise de photo, zappant presque sur l’image d’eux qui est prise, s’attardant rarement sur l’une d’elles dans laquelle, enfin, ils se reconnaîtront.
La photo a ceci de particulier qu’elle ne rend pas forcément l’image exacte de la personne, telle que nous la percevons au quotidien. On parle d’ailleurs de photogénie (du grec photo = lumière et genique = origine). Etre photogénique, c’est se rapporter aux effets chimiques de la lumière, c’est rendre des images nettes et esthétiques… Sauf que parfois, le côté chimique déconne et la photo est mauvaise, ne rend pas cette image esthétique… Pourquoi certaines personnes sont-elles photogéniques et d’autres non ? Cela reste un mystère pour moi ! Mais c’est une réalité.
Cependant, derrière cet aspect photogénique, car nous sommes malgré tout tous photogéniques à un moment donné ou à un autre, il y a ce que nous sommes réellement… L’apparence physique, que je dissocie de notre paraître qui pour moi, est fortement lié à notre personnalité.
Notre apparence physique, nous sommes forcés de vivre avec. Elle est liée à notre morphologie, à nos traits de visage, à notre silhouette. Cette apparence, nous la vivons à travers notre propre regard, ce que nous aimons chez nous ou pas… Tout est une fois encore question de hauteur, de confiance en soi, d’affirmation de soi et de vécu…Mais nous la vivons également à travers ce que les autres nous renvoient… Parfois, un regard désapprobateur suffit à nous glacer, à nous bloquer, à nous timorer. Mais parfois aussi, un regard aimant nous aide à accepter davantage ce que nous sommes.
Je connais ainsi moultes personnes ayant un rapport faussé dans leur image de soi… Il faut dire que bien souvent, la société nous demande de rentrer dans un moule, et ce dès notre plus jeune âge. Que l’on soit trop ou pas assez, quels que soient les domaines, on n’est pas comme il faut. Allez dans des boutiques de vêtements et tentez de trouver des habits pour petites ou grandes tailles, vous vous apercevrez que vous n’avez que très peu de choix, et encore faut-il que vous aimiez les modèles proposés. Nous grandissons donc avec ces images-là, véhiculées entre autres par les médias et , bien sûr, par les gens qui nous entourent. Difficile alors de rester objectif quant à ce que nous sommes réellement physiquement. Nous aimerions tous ressembler aux canons de beauté qui nous sont proposés par le biais des mannequins, acteurs ou autres célébrités : visage magnifique, corps parfait(ement retouché !!!)…
Sauf que, bien sûr, nous ne ressemblons qu’à nous !!! Avec nos imperfections, notre nez trop épaté, nos oreilles trop décollées, nos rondeurs trop rondes, ou notre maigreur sans formes… Mais si nous tentions de changer de point de vue, de voir ce que l’on aime en nous et pas ce que l’on déteste ? Car, justement, nous ressemblons à nous, et uniquement à nous, et c’est en soi une richesse !
Je connais des gens maigres et beaux, des gens ronds que je trouve magnifiques, des gens dans la norme qui sont hideux, tout est combinable en fait. Car un corps parfait n’est beau que si la démarche va avec, et au-delà de ça, il reste autre chose : un corps est un corps, une apparence est une apparence… Mais on ne peut, en fait, dissocier l’apparence de la personnalité, sauf sur des gravures de mode justement, où l’on sublime les points forts pour rendre beau, ce qui est encore différent.
Et ce que nous ne devons pas oublier, c’est que notre corps porte les stigmates de notre vécu et que comme pour le reste, nous réagissons tous différemment dans notre corps : une contrariété et l’on bouffe, un stress énorme et l’on n’avale plus rien… Je parle ici du poids parce que ce dernier est souvent un critère de jugement… Mais l’on pourrait parler couleur de cheveux, rides, expressions de fatigue, etc… De nombreux signes qui trahissent d’une manière ou d’une autre comment nous traversons la vie, un peu comme une carotte de glace que l’on va analyser…
Donc, si notre image de soi est souvent en décalage avec la réalité, on ne peut nier que les a priori extérieurs sont suffisamment importants pour la ternir, ou l’enrichir… Au final, il est question également de rester sensible à ce que l’on nous dit de positif, pour approcher au mieux notre image réelle… J’en entends déjà penser : « Ben, y’a du boulot ! », alors je réponds : « Ben, y’a plus qu’à s’y mettre ! »… Le chemin est certes long, mais possible ! La solution je crois, à tout ça, est de parvenir à assumer notre image de soi, comme pour le psychisme : plus nous pointons nos atouts, plus nous nous aimons, car plus nous sommes nous…